Quand L’Homme Est L’Avenir De L’Homme

Cela faisait quelques semaines déjà que j'étais en relation épistolaire avec Stéphane, qu'il me parlait de son Aurélie, et je dois dire que cette Aurélie était plutôt pas mal foutue pour s'amuser. Pas un canon, çà, non, mais après tout, qu'étais je moi, du haut de mes 62 ans, pour me prévaloir d'être un Casanova ? Non, pas un canon, juste une femme, presque une jeune fille sans prétention, qui cherchait encore à s'épanouir dans le sexe et le vice, une frangine comme j'en aurais souhaité souvent en somme, et je dois dire que ses appâts avaient du faire bien des ravages dans le microcosme où elle évoluait. Elle pouvait avoir alors 20 ou 21 ans, je crois, et des cheveux très longs descendant jusqu'à sa chute de reins, qu'elle avait fort cambrée.
Raconter ici, à Stéphane, mes ébats avec elle, cela aurait pu passer pour de la provocation, tant son Aurélie me rappelait une autre Aurélie, avec qui j'avais fait les 400 coups à Passy, du côté de Saint-Gervais, dans les Alpes. C'était en 2003 et 2004, et mon fils, qui travaillait alors là-bas, habitait alors chez les parents de sa copine Aurélie. Il bossait souvent en intérim avec le père de celle-ci, Gérard, un bon vivant, et tous deux rentraient le soir dans des états d'ébriété avancée, au grand dam de son hôtesse, trop souvent délaissée, et de sa fille Aurélie, qui espérait autre tant de mon fils.

Comme je travaillais à cette époque sur la région, en déplacement sur de grands chantiers, je combattais ma solitude en les fréquentant assidument, et j'avais remarqué qu'Aurélie, malgré notre différence d'âge, une quarantaine d'années tout de même, n'était pas indifférente à mes charmes (ou plutôt cherchait à satisfaire un appétit sexuel féroce, qu'elle avait du mal à contenir). C'est un vendredi après-midi de juillet, alors que nous étions seuls, que tout commença entre elle et moi. Sa mère était partie voir ses parents, comme chaque vendredi. Son père et mon fils travaillaient sur un Chantier à Argentières, bien au dessus de Chamonix, et nous avions toute la journée, ou presque.

La chaleur aidant, j'étais torse nu, et elle en jupe courte et marcel, sans soutif, ce qui ne gâchait rien, bien au contraire.
- Qu'est-ce qu'il fait chaud, dit-elle, vers 10 heures, je vais me couler un bain
- Coule m'en un aussi, dis-je en rigolant
- Mais c'est prévu mon chéri, répliqua t'elle très sérieusement
La conversation en resta là, mais quelques minutes plus tard, j'eus la surprise de la voir dans l'encoignure de la porte de salle, toute nue, et en train de me dire que le bain de Monsieur était prêt.
- Mais, on va pas le prendre ensemble, comme çà, quand même ? fis-je
- Oh, répondit-elle, ne fais pas ta mijaurée, je sais bien que tu voudrais me sauter, il
n'y a qu'à regarder comme ton short pointe, pour voir que je te fais bander;
- Ben c'est vrai, dis-je en rougissant, tu m'excite, et depuis longtemps, même, mais
je m'attendais pas là, maintenant, à...
- Oh, je t'en prie, fais pas ton cinéma, ajouta t'elle de sa voix haut perchée, un peu chuintée, qui m'énervait parfois un peu, car on avait toujours l'impression qu'elle se plaignait, lors qu'elle parlait, pourquoi tu n'es pas au travail alors qu'on n'est que vendredi ? Parce que tu sais bien qu'en ce moment, la maison est vide le vendredi...

Je ne demandai pas mon reste, me dessapai fissa, et fonçai dans la baignoire d'où seul, son visage émergeait. Mon ventre sur son ventre me provoqua aussitôt une superbe érection, Il faut dire que j'avais ressenti le contact d'une toison bien fournie. Elle me prit très vite en main, massant doucement mes boules de ses longs doigts effilés, caressant ma queue tendue comme un piquet d'acacia, sans les épines, quand même, avant de me faire asseoir sur le rebord de la baignoire. Alors, elle s'agenouilla devant moi, vénérant par là-même son maître, et entreprit de m'astiquer consciencieusement ma queue avec sa langue, elle aussi très longue et lourde.
Elle était du genre travailleuse, comme elle l'était sans doute dans les chambres d'un hôtel proche, aux Bossons, où elle travaillait comme femme de ménage occasionnelle. Je me laissais faire, tout en pétrissant sa superbe poitrine, aux larges aréoles, qui auraient pu m'allaiter à loisir si elle avait eu du lait, mais ma petite vache n'étant pas enceinte, je dus donc m'en passer. Je me rattrapai en lui laissant les marques de nombreux suçons, et même de quelques petites morsures, pratiquées par reflexe au plaisir qu'elle était en train de me donner... jusqu'à ce que je l'abreuve enfin de mon sperme épais, qu'elle avala goulûment, avant de le déglutir quelques secondes plus tard.

- Eh bien, dis-donc, t'es pas comme ton fils, toi, lui, il a rien dans la culote !
Un peu interloqué, je lui demandai gentiment pourquoi elle me disait çà, sachant qu'il était assez queutard habituellement
- Eh ben oui, quoi, il est comme mon père, ils arrivent même plus à bander, quand ils picolent, c'est même pour çà que Maman va voir ailleurs... Pourtant, quand je l'ai connu il y a quelques mois, il m'a fait jouir comme personne.
Je préférai ne pas lui dire que moi aussi, j'avais envie de la faire jouir, me contentant de lui enfiler un peignoir, tandis que je passai sur moi celui de mon fils, et je la conduisis jusqu'à son lit. Alors, déjà bien requinqué, je lui fis jouer des castagnettes, avec mes deux boules gonflées, tandis que je lui caressais doucement l'anus, jusqu'à ce que je sente celui-ci se détendre enfin, puis s'ouvrir légèrement...

Sans attendre mes instructions, elle comprit aussitôt, et se disposa à plat ventre, sur le bord du lit, les jambes arquées, en me donnant le flacon d'huile d'amandes douces... La suite, ce fut pour elle d'être prise comme une chienne, frémissante d'abord, puis hurlant peu à peu, jusqu'à tomber dans l'hystérie. Jamais je n'avais baisé une fille aussi hardcore qu'elle, une vraie nymphomane, et je ne pris aucune précaution, continuant à lui perforer le fion jusqu'à l'extase.
.. avant qu'elle ne s'endorme soudain comme une masse. J'étais passé par derrière elle, mais tout mon jus glissait doucement sur sa toison, et ses grandes lèvres pulpeuses.

Il y avait au moins un avantage ainsi, c'est que je n'avais pas risqué de la mettre enceinte, Elle avait déjà bien assez à faire avec moi, qui n'en n'avais pas assez, avec mon fils qui lui, voulait souvent mais pouvait peu, et un cousin à elle, Bruno, mignon comme un dieu, qu'elle m'assurait n'être dans la région que pour quelques jours, mais qui connaissait les lieux par cœur et que, sachant mon « bel oiseau Aurélie » toujours en rut, je soupçonnais fort d'être son serviteur. J'en étais là dans mes réflexions, en me rhabillant, lorsque l'on frappa à la porte. Enfin présentable (un coup de chance dans mon timing), j'ouvris la porte à un homme, jeune encore, qui me demanda si Aurélie était là. Je lui répondis que oui, mais qu'elle dormait, et ne sachant que faire, je le fis rentrer.
Trois quarts d'heure plus tard, environ, alors que nous faisions, lui et moi, plus ample connaissance, Aurélie pénétra dans la salle, seulement vêtue d'une nuisette presque transparente, et nous voyant à deviser ainsi, dit simplement
-Ah, Stéphane, comme c'est gentil à toi d'être venu, sois le bienvenu et se tournant vers moi, elle me précisa : Je te présente Stéphane, un ancien boy-friend, qui travaille avec moi à l'hôtel, aux Bossons, mais lui, il est réceptionniste. Il n'ya plus rien ensemble, mais je l'aime bien.
- Oui, bien sûr, et moi je suis la reine d'Angleterre, voulus-je lui répondre, mais quelque chose fit tilt en moi, de penser que c’était peut-être eux le fameux Stéphane, et sa tumultueuse copine Aurélie… ce serait vraiment trop drôle… et puis, quelque chose d'autre me trotta dans la tête, un petit zeste de vice dont Stéphane était la cause, indirectement, le beau cousin d'Aurélie également,, comme une idée de partie carrée avec une seule gonzesse, ou au minimum en trio.
Etant bi depuis des années déjà, j’avais bien envie de m’offrir en prime son beau cousin, un pur produit de la vallée voisine, tout juste âgée de 22 ans, et réellement attirant comme un dieu. J’étais en manque de mecs depuis quelque temps et cette idée me fit de nouveau monter la sève.

- Il fait décidément très beau, dis je, si on allait pique niquer au lac ?
- Oh oui, fit Aurélie, ce serait sympa, et on pourrait se baigner… Tiens je vais appeler mon cousin Bruno
- J’y pensais justement, ajoutai-je, oui, ce sera un bon plan, pour sûr.
La question fut réglée en cinq minutes, le temps du coup de fil, et Aurélie et Stéphane ayant préparé le pique-nique, prirent la route dans la vieille 2 CV de Stéphane pour le lac, tous deux devant, Bruno et moi ayant pris place à l’arrière, un peu tassés l’un contre l’autre. Les nombreux virages de la route en lacets nous projetaient sans arrêt l’un contre l’autre, et je sentais les poils soyeux de ses jambes, faisant monter en moi un désir montant en moi. Après quelques frôlements de nos jambes nues, il ne chercha même plus à les éviter, bien au contraire, me laissant entendre que cette promiscuité ne le laissait pas indifférent non plus. Sitôt arrivés au bord du lac, un simple étang en fait, Stéphane et Aurélie se déshabillèrent sans autre forme de pudeur, et coururent se baigner nus, nous laissant en plan Bruno et Moi.
- Ecoute Bruno, lui dis-je alors, on va peut-être aller se baigner un peu plus loin, et les laisser à leur intimité. Manifestement, ils n’ont pas envie qu’on partage leurs plaisirs.
- On dirait en effet, dit Bruno, éloignons nous un peu pour nous baigner
Après une bonne centaine de mètres, un coin tranquille s’offrit à nous, à l’abri des regards, puisque nous devions nous baigner nus également, mais il avait autre chose en tête que le nudisme, lui comme moi d’ailleurs, comme je pus le constater en sentant sa main sur le bas de mon short. Je ne dis rien et le laissait faire, attendant une suite qui ne manqua pas de venir. Sa grosse paluche s’introduisit en effet à l’intérieur, et il n’eut aucun mal à trouver ma queue, qui s’excitait déjà à la sensation de cette main baladeuse, laquelle commençait à me masser doucement.

Je ne lui fis qu’un seule réflexion, celle de lui dire que je le croyais surtout porté sur les femmes, sur sa cousine Aurélie, notamment.
- Ne m’en parle pas de celle-là, me répondit-il, c’est une vraie nymphomane. En fait, c’est elle qui m’a dépucelé avec les femmes et je n’ai jamais couché avec une autre. Moi, mon truc, c’est les mecs plutôt, j’ai toujours aimé les hommes, les vieux comme toi surtout, parce qu’ils ont plus d’expérience.
- Oh ben, je te remercie pour les vieux, lui répondis-je, pas vexé du tout, pourtant, je crois que je suis pas mal monté, et que çà te plait bien…
- Oui, oui, je sais, ne le prend pas à mal, j’ai senti çà chez toi, comme un instinct en somme… j’ai eu la vraie impression que je te plaisais.
- C’est vrai, lui répondis-je… continue doucement avec ta main, tu m’excites bien, là, et j’ai déjà envie de jouer aussi avec toi, tu sais.
- Vas-y, j’attends çà depuis notre départ, m’indiqua t’il, en me baissant complètement mon short, avant de retirer le sien.
Dès lors il ne nous restait plus qu’à nous allonger sur le grand drap de bain que nous avions, déjà collés l’un contre l’autre. Il avait un membre on ne peut plus viril, démentant sans problème l’idée que les homos sont tous des « tapettes » , et s’il avait sûrement beaucoup à apprendre dans le domaine sexuel, il ne craignait certainement personne pour assurer ses fonctions de mâle, un bel étalon, comme j’en avais peu vus dans ma vie. Mollement enlacés dans la splendeur de notre nudité, nos mains baladeuses découvraient nos corps, et je sentais son chibre prêt à m’entreprendre, tandis qu’il me travaillait doucement la rosette, ce qui tombait bien puisque je me sentais un peu las de toujours tirer des coups, sans recevoir autre chose en échange que quelques baisers furtifs, je parle ici de mes ébats avec Aurélie. Avec elle, ce n’était que remplissage, par tous ses orifices, et surtout aucun sentiment.

Sortant de mon « baise en ville » mon inséparable tube de vaseline, je le donnai à Bruno, lequel enduisit mon popotin de ce produit miracle, qui facilite tant les entrées en « canton occupé ». Nous étions couchés en vis-à-vis, sur le côté, mais je ne pouvais lui offrir qu’un sexe légèrement flasque, un peu épuisé que j’étais par mes nombreux ébats récents des deux derniers jours avec Aurélie. Cela l’arrangeait bien du reste, puisqu’il se montrait justement très actif, agissant sans rien me demander, comme s’il était le maître et moi l’élève, et moi, comme un néophyte, je me laissais faire, trop heureux de ce que je savais se produire bientôt. Je ressentis quelques légers frissons lorsque son doigt pénétra dans mon trou déjà humide, puis un deuxième, et enfin un troisième… S’il n’avait pas encore toute la connaissance inhérente à la sodomie, je pouvais deviner qu’il avait déjà une bonne pratique de la chose, surtout comme passif.
- Ta rosette est bien ouverte mon chéri maintenant, j’ai bien envie de te baiser, là, tout de suite, dit-il
- Mais faites donc cher ami, faites, lui répondis-je en plaisantant, et je me mis aussitôt en position sur le bord du lit, cuisses bien écartées, pour faciliter la pénétration de sa queue déjà bien raidie.
Il enfourna celle-ci sans coup férir, si l’on peut dire, me faisant pousser un petit cri de douleur, un mal fulgurant et très bref, aussitôt remplacé par une sensation de bien-être et de relâchement, lors de la poussée tranquille de son bel engin au fond de moi. Je m’étais bien vidé le colon le matin même, à deux reprises, et le tunnel était bien dégagé jusqu’à l’ampoule rectale pour la vingtaine de centimètres qu’il avait à m’offrir.

Je ne voulais pas lui faire voir combien ces instant délicieux me faisaient jouir, mais il s’en aperçut à mes contorsions, pour faciliter encore plus la pénétration, jusqu’à l’instant où commencèrent ses mouvements de va-et-vient, brefs tout d’abord, le temps de bien lubrifier mon rectum, puis de plus en plus en plus accélérés ensuite. Sa jeunesse et sa fougue lui permettaient de tenir une bonne cadence, et je sentais en moi l’extase monter peu à peu, d’autant qu’il m’enserrait maintenant de ses bras velus, pour mieux me maîtriser pendant le coït. Mon corps tout entier tendu, comme pour mieux lui résister, perdit toute inertie en sentant son chibre s’enfler, grossir au fond de mon anus, puis vibrer rapidement, avant la libération finale de son sperme, qui m’inonda intérieurement. A cet instant, perdu dans le néant, j’avais beau être un mâle, je me sentis femme, comme peut l’être une femme à l’instant précis de la jouissance profonde. Je dus m’endormir quelques instants, tant mon plaisir fut intense, et quand je rouvris les yeux, Bruno était au dessus de moi, en train de m’embrasser délicatement, comme deux amants, et de fait, c’est bien de cela qu’il s’agissait, Bruno était devenu mon amant en ces instants de bonheur, heureux instants appelés à durer longtemps, tant nous nous plaisions l’un l’autre, physiquement et amoureusement parlant.

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